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L’actualité de la Pléiade

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Connie et Oliver dans la Pléiade

Mai 2024

En Connie on aura reconnu Constance, Lady Chatterley, et en Oliver son garde-chasse, Mellors. Publié à compte d’auteur en 1928, circulant sous le manteau (un assez large manteau) jusqu’en 1959, objet d’un procès retentissant en 1960, Lady Chatterley’s Lover fut longtemps synonyme de scandale. Si l’on voulait bien, à la faveur de la nouvelle traduction proposée, le lire pour lui-même, le roman n’y perdrait rien. C’est en octobre que paraîtra le volume de la Pléiade consacré à D. H. Lawrence : Women in Love, Lady Chatterley’s Lover et le recueil de trois novelettes intitulé, selon les éditions, The Captain’s Doll ou The Ladybird ont été retraduits pour l’occasion par Marc Porée et Laurent Bury. Voici, à titre d’échantillon, un extrait du chapitre VI de L’Amant de Lady Chatterley (le premier dialogue entre Constance et Mellors) dans la traduction inédite de Marc Porée.

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  • George Sand et le roman

    Quarante-neuf ans à peine après l’entrée de l’autobiographe dans la Pléiade, voici la romancière. Dans son Introduction aux deux volumes qui paraissent en novembre et qu’il a dirigés, José-Luis Diaz s’attache à mettre en relief l’originalité de la pratique romanesque de Sand, que Jules Janin qualifiait en 1836 de « plus grand écrivain de ce temps-ci », mais qui attend encore d’occuper pleinement la place qui lui revient parmi ses pairs du XIXe siècle. Voici les deux dernières sections de cette Introduction.

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  • Nathalie Sarraute, vingt ans après

    Après avoir traversé le XXe siècle de part en part, Nathalie Sarraute s’est éteinte le 19 octobre 1999, laissant derrière elle les mots en liberté, totalement dégagés des personnages auxquels ils obéissaient jusque-là. Vingt ans plus tard, nous avons souhaité commémorer la disparition de celle qui n’aura cessé de « dévoiler, faire exister une réalité inconnue », cachée sous la « gangue » des paroles quotidiennes. De la publication de Tropismes, en 1939, jusqu’à ses derniers livres, elle aura toujours voulu repousser les limites du roman, non par bravade, mais par nécessité, car sa recherche l’a forcée « à se forger un instrument neuf, percutant, à créer une forme vivante ».

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  • Colloque «Nathalie Sarraute - vingt ans après»

    À l'occasion du vingtième anniversaire de sa mort, la Bibliothèque nationale de France et l'Institut d’Études Avancées de Paris organisent un colloque consacré à Nathalie Sarraute, les 17 et 18 octobre 2019.

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